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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 10:28

La rose est une synthèse poétique et naturelle de la beauté et de l'harmonie. Elle a une grande valeur symbolique. C'est sans doute cette double valeur symbolique qui justifie sa présence à l'autel de certains loges à ce moment si particulier de la Saint Jean d'Eté. C'est en effet en ce lieu que se realise la conjonction entre l'aspect horizontal du Hekal et l'axe de commuication avec les états superieurs au Débhir. La rose ici présente, fait oeuvre de synthèse harmonieuse entre les deux plans, horizontal et vertical.

(...)

La décoration florale dans un  temple

La rose blanche est le symbole de la plénitude, qui est pureté, silence et fidélité. Elle rappelle au Maçon deux vertus :  la recherche de la vérité et le sens du devoir.

 

La rose, du point de vue de la botanique

La rose est la fleur du rosier, arbuste du genre Rosa et de la famille des rosacées. Le rosier est d'abord une plante sauvage, dont le représentant le plus connu en Europe est l'églantier. La principale modification observée chez les rosiers cultivés est la multiplication des pétales, qui sont en fait des étamines transformées.

Églantier > Ancêtre de la rose

Appréciée pour sa beauté, célébrée depuis l'Antiquité par de nombreux poètes et écrivains, pour ses couleurs qui vont du blanc pur au pourpre foncé en passant par le jaune franc et toutes les nuances intermédiaires, ainsi que pour son parfum, elle est devenue la « reine des fleurs ».

Le mot « rose », daté en français au début du 12e siècle, est dérivé du latin Rosa, rosse  qui désignait aussi bien la fleur que le rosier lui-même.

Ce terme, apparenté au grec rodons, aurait été emprunté à une langue orientale.

La rose du point de vue historique

Des rosiers fossiles églantiers, ont été retrouvés aux États-Unis, dans l'Oregon et le Colorado, leur âge a été évalué à 40 millions d'années. La plus ancienne représentation de la rose a été retrouvée en Mongolie, dans les tombeaux de Tchoudi. Des représentations de la Rose en Crète datant de 1600 av. J.-C. nous montrent des fleurs à 5 pétales de couleur blanc rosé. Toute l’antiquité a vénéré la rose et lui a donné une place dans ses mythes et légendes. C’est le symbolisme de la régénération et de l’éternité des cycles de vie, lié à une renaissance spirituelle.

Ceci explique que la rose a été utilisée lors des rituels de momifications durant le règne de Ramsès II et a fait partie de l'ornement des sarcophages et tombeaux.

Un bouquet de roses a été découvert dans le sarcophage de Toutankhamon.

 

Cette symbolique de la naissance existe également dans l'Empire romain : un esclave affranchi était couvert de roses ; elle ornait sous forme de couronnes les mariés et les guerriers.

Sous forme de poudre, d'infusion, d'eau de rose, elle était principalement utilisée en médecine pour guérir les douleurs, les infections, la nausée…

C'est à cette époque que Pline rédigea le premier ouvrage sur la culture des rosiers.

Pline l'Ancien, dans son « Histoire naturelle », décrit 20 sortes de rosiers nommés par le nom de leur lieu de provenance.

 

Le Moyen Âge et la domination du Christianisme

Le Christianisme a rejeté la rose comme étant un symbole païen par son attachement à Vénus et elle devint alors l'emblème des prostituées. La rose survit alors dans quelques jardins comme ceux de Childebert 1er

 (511 – 558), dans quelques couvents ou monastères où elle fut cultivéepour ses propriétés médicinales.

  C'est au Moyen Âge que les premières roses ont été cultivées et importées par les Croisés en provenance de l’Orient.

Elle devint l’emblème du silence, on la suspendait au dessus de la table des festins, afin de signifier aux convives que tout ce que l’on entendait devait être tenu secret.

D’où l’origine symbolique « Sous couvert du maillet » que l’on retrouve en Maçonnerie. Quant à l’époque de la Renaissance, elle en fit un vulgaire objet d’étude botanique et médicinale.

C'est au 18e siècle que les Français commencèrent à les croiser pour créer de nouvelles variétés. Dans la seconde moitié du 18e siècle, la rose devint la reine des fleurs.

  Au 19e siècle, la rose est devenue une fleur ornementale essentielle, mais ses vertus médicinales sont presque oubliées et son symbolisme religieux également. C’est devenu une rose nouvelle qui va passionner botanistes et horticulteurs.

 

Les feuilles du rosier

Un botaniste nous dirait que les feuilles du rosier sont alternes, composées et pennées. Sous la fleur, en descendant le long de la tige, les premières feuilles ont, le plus souvent, 3 folioles ; plus bas elles en ont 5 et plus bas encore parfois jusqu’à 7 folioles.

Mais ce qui devrait retenir notre attention, à nous symbolistes, ce sont ces nombres 3 – 5 – 7.

Sans entrer dans trop de détails, survolons rapidement le symbolisme de ces trois nombres.

Symbolisme du nombre trois

Le nombre trois est un nombre universel que l’on retrouve dans toutes les traditions initiatiques.

Il exprime un ordre spirituel dans les plans humains, cosmique ou divin.

Il exprime un ordre intellectuel et spirituel dans le cosmos ou dans l’homme.

Il synthétise la triunité de l’être vivant ou il résulte de la conjonction de 1 et de 2, produit en ce cas de l’Union du Ciel et de la Terre.

Trois n’est pas véritablement le troisième nombre, mais le premier, composé à partir des nombres 1 (nombre du Créateur) et 2 (division, dualité, binaire), trois est le premier nombre mystérieux qui intervient comme la signature de la création dans l’Ordre.

Trois marque toutes les choses créées parce qu’il a présidé à leur création, c’est le nombre de la loi directrice des êtres et du commencement des choses matérielles.

Il est le nombre de toute production à l’image du triangle.

Les naturalistes ont observé de nombreux ternaires dans le corps humain. Il semblerait que toute fonction importante d’un organisme possède cette structure de base.

La raison fondamentale de ce phénomène ternaire universel est sans doute à chercher dans une vue globale de l’unité.

La complexité de tout être dans la nature se résume dans les trois phases de l’existence : apparition, évolution, destruction ; ou naissance, croissance, mort ; ou encore, selon la tradition et l’astrologie : évolution, culmination, involution.

 

Symbolisme du nombre cinq

Depuis toujours, le nombre cinq est particulièrement chargé de sens.

Il est considéré comme le nombre de la sagesse et de l’harmonie. On ne peut manquer à ce sujet de citer les cinq doigts de la main et du pied, les cinq sens, l’étoile à cinq branches que forme l’homme debout, tous membres déployés.

Cinq est le symbole de l’homme immortalisé par Léonard de Vinci qui avait dessiné l’image d’un homme tenant les bras et les jambes écartées de façon que les quatre extrémités des membres et la tête coïncident avec les sommets d’un pentagone étoilé, inscrit dans un cercle.

Selon cette représentation de l’art de la Renaissance, cinq est le nombre de l’homme, en  tant qu’être placé au centre du cosmos !

Cinq se rapporte à la quintessence, conçue comme l’esprit invisible des choses.

 

Symbolisme du nombre sept

Dans la longue suite des nombres ayant acquis une valeur symbolique au fil des siècles, le nombre sept semble tenir une place particulière.

De fait, toutes les civilisations les plus anciennes lui ont accordé une place à part, lui conférant une aura de plénitude et en faisant quasi unanimement le symbole de la perfection et de l’harmonie, souvent sans la moindre concertation.

Le nombre 7 a été le nombre sacré parmi toutes les nations civilisées de l’Antiquité, le nombre de la perfection, le symbole le plus rayonnant aux faces multiples.

Il est fondamental entre tous et on le rencontre dans toutes les religions.

Sept correspondait au nombre des sages de la Grèce antique : Thalès de Milet, Solon d’Athènes, chilo de Lacédémone, Pittacos de Mitylène, Bias de Priène, Cléobule de Lindos et Périandre de Corinthe.

Mais sept évoquerait aussi les sept vertus : trois théologales (la foi, l’espérance, la charité) et quatre cardinales (la force, la justice, la prudence et la tempérance).

Le nombre « sept » évoque aussi les sept sacrements de l’Église catholique romaine, ainsi que les sept péchés capitaux, correspondant aux sept désirs matériels : l’orgueil, l’avarice, l’impureté, l’envie, la gourmandise, la colère et la paresse.

Sept correspond aussi aux sept signes zodiacaux entre les solstices d’hiver et d’été, entre deux équinoxes.

Le solstice d’été a lieu quand le soleil passe dans le 7e signe zodiacal.

Le solstice d’hiver a lieu quand le soleil a parcouru les sept signes suivants. Le nombre sept est le nombre de la réalisation : il marque la fin d’une évolution, la fin d‘un cycle. Il indique le sens d’un changement après un cycle accompli et celui d’un renouvellement positif : les sept jours de la Création, les sept ans de la construction du Temple de Salomon.

 

Le symbolisme de la rose

C'est surtout par sa valeur symbolique que la rose a laissé son parfum dans l'histoire.Voici quelques exemples.

Chez les Grecs, la rose était la fleur d'Aphrodite, déesse de l'amour et d'Aurora, la déesse aux doigts de roses.

Les Romains rattachaient la rose à Vénus. La rose aurait été blanche, mais rougie accidentellement quand Cupidon renversa son verre de vin sur elle.

Rappelons qu'Aphrodite était la Déesse grecque de la germination, de l'amour, des plaisirs et de la beauté. Son équivalent romain était Vénus Déesse de l’amour, de la séduction et de la beauté. La première nuit d'amour entre Cléopâtre et Marc Antoine se serait déroulé sur un lit de pétales de roses.

  Les Rose-Croix, société secrète et mystique, ont pour emblème une rose rouge fixée au centre d'une croix.

La Rose-Croix est un ordre hermetiste chrétien légendaire, dont les premières mentions remontent au début du XVIIème siècle en Allemagne.

L'existence de l'ordre, et celle de son fondateur Christian Rozencreuz ou Christian Rose-Croix (« le Chrétien à la Rose et à la Croix  né en1378 et mort en 1484). Quoi qu'il en soit, à partir du XVIIIème siècle et jusqu'à aujourd'hui, de nombreux mouvements se sont réclamés de l'ordre de la Rose-Croix, ou se sont référés à la « tradition rosicrucienne » ou à l'« héritage de Christian Rose+Croix». Leurs membres sont appelés les rosicruciens.

Le terme « Rose-Croix » désigne, dans leur langage, un état de perfection spirituelle et morale.

Comme archétype de socièté secrète immémoriale et toute-puissante, les rose-croix apparaissent dans la littérature ésotérisante, souvent comme successeurs des chevaliers du Graal et des Templiers.

 

Remarquable par sa beauté, sa forme et son parfum, la rose est la fleur symbolique la plus employée en Occident et elle correspond dans l'ensemble à ce qu'est le lotus, en Asie, l'un et l'autre étant très proches du symbole de la roue.

 

L'aspect le plus général de ce symbolisme floral est celui de la manifestation, issue des eaux primordiales, au-dessus desquelles elle s'élève et s'épanouit.

Elle désigne une perfection achevée, un accomplissement sans défaut.

Elle symbolise la coupe de vie, l'âme, le cœur, l'amour, l’image de l'âme.

La rosace gothique et la rose des vents marquent le passage, du symbolisme de la rose à celui de la roue. La rose, par son rapport avec le sang répandu, paraît souvent être le symbole dune renaissance mystique : sur le champ de bataille où sont tombés de nombreux héros, poussent des rosiers et des églantiers... 

 

La rose et sa couleur sont les symboles du premier degré de régénération et d'initiation aux mystères.

 

La rose est devenue un symbole de l'amour et plus encore du don de l'amour, de l'amour pur. Blanche ou rouge, la rose est une des fleurs préférées des alchimistes dont les traités s'intitulent souvent rosies des philosophes. La rose blanche, comme le lis, fut liée à la pierre au blanc, but du petit œuvre, tandis que la rose rouge fut associée à la pierre au rouge, but du grand œuvre. La plupart de ces roses ont sept pétales dont chacun évoque un métal ou une opération de l'œuvre.

Une rose bleue serait le symbole de l'impossible.

 

Pour conclure…

La rose, fleur aux multiples facettes et aux significations si contrastées, a été célébrée au cours des âges pour mille raisons différentes.

L’Antiquité en a fait la fleur des dieux, le Christianisme la fleur de Dieu.

Les roses ont été cultivées en Chine et en Perse depuis 5000 ans et en Grèce depuis l'âge du bronze. Dans la mythologie grecque, on dédiait la rose à Aphrodite ; chez les Romains, on la dédiait à Vénus, toutes deux déesses de la beauté. De nos jours, la rose est certainement la fleur qui s'offre le plus !

 

La rose, reine des fleurs depuis près de 6000 ans, symbolise deux notions contradictoires, la passion et la pureté. Rouge, rose d'Aphrodite, elle symbolise l'amour, la beauté et la passion. Blanche, associée à Vénus ou à la Vierge, elle est devenue l'emblème de la pureté et de la vertu.

La rose blanche, unité et synthèse des couleurs, est l'expression de la plus haute spiritualité.

 

Lao-Tseu (VIe siècle av. J.C)

Nous a enseigné « Celui qui parle ne connaît pas, alors que celui qui connaît ne parle pas »

L’Initiation maçonnique renforce le serment d’obligation de secret prêté à l’Orient et le devoir de silence. Ce n’est donc pas étonnant que les francs-maçons l’aient choisie pour décorer l’autel de leur Loge à l’occasion de la Saint-Jean d’été !

Une citation d’Alfred de Musset (1810-1857)

« La vie est une rose dont chaque pétale est un rêve et chaque épine une réalité »

  Poésie de circonstance…

LA VIE EN ROSE

Sous le soleil de midi, majestueux à l’image d’une reine

M’apparut une fleur dont la beauté me fit oublier toutes mes peines.

Elle était là, devant moi dans une blancheur révélant sa pureté

M’imposant le silence, m’animant de passion, et d’un désir de fidélité

Je ressentis en moi une régénération de l’amour pour une éternité

Mon regard ne pouvant qu’admirer sa perfection d’une rare beauté

Dont les pétales aux reflets métalliques font réflexion à la lumière

Tandis que les feuilles démontrent une disposition très particulière

Une particularité qui me fait vérité, une acceptation au plaisir de voir

Oui, c’est bien toi, la rose, la fleur des dieux, lumière du matin et du soir

Qui emplit mes rêves minute après minute à ne plus voir le temps passé

Jusqu’à l’instant où par mégarde à l’une des tes épines je me suis piqué

Levant la tête, je vis la lune et compris que minuit avait sonné

Et c’est dans la lumière lunaire que mes pas chez moi m’ont ramené

Floraison de l‘esprit, floraison de l’âme, floraison de la pensée, la rose est là

La rose est entrée dans ma vie et m’accompagnera pour l’éternité dans l'au-delà.                    

Chr\Deg\

R\L\Chevalier Gaston IV de Béarn à l’Or\de Nalinnes (Belgique)

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commentaires

C
votre site https.....article la revue du maçon renvoie à SEX FINDER !!!
Répondre
É
merci pour l'info. frat

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