Au commencement était le rire. Et après ?
Il est courant d’introduire le thème en faisant référence à Rabelais … « Le rire est le propre de l’Homme »… Eh bien non… Il s’avère que nous partageons ce « petit orage nerveux » avec nos cousins, je serais tentée de dire nos très chers frères, les grands singes… Mais si chez le grand singe le rire est une mimique de jeu et d’apaisement ; chez l’Homme le rire est ambivalent et fait apparaitre toute une palette de nuances, jaune compris.
Pour aller plus loin encore dans cette spécificité, qui n’est décidément pas la nôtre, on notera que des chercheurs Nord-Américain, il y a déjà une bonne vingtaine d’années, ont mis en lumière une forme de rire chez les rats. Oui le rat ri aussi, mais jusqu’à preuve du contraire, uniquement quand on le chatouille !
Alors si le rire n’est pas le propre de l’Homme, peut-être fait-il l’Homme ? C’est ce que je vais tenter de monter. Pour cela nous en viendrons à un moment ou l’autre, à nous poser la question suivante : le rire de l’Homme éclairé est-il le même que le rire du niais ?
Qu’est-ce que le rire ?
Il est un rire de base que Bergson définit comme : « du mécanique plaqué sur le vivant »[1], sorte de réflexe que nous avons en commun avec d’autres animaux. Un rire qui vient en réaction à un chatouillement du corps mais aussi de l’esprit. A l’opposé se trouve un rire socialisé et codé, qui n’appartiendrait qu’à l’Homme, et dont le sens différera selon l’époque, la culture et le groupe social.
Le rire socialisé peut être considéré comme est un langage. Je vous épargnerai la description du chemin qui m’a conduit à cette affirmation, mais nous retiendrons que le rire peut exprimer presque tous les sentiments humains ; l’homme peut donc tout traiter par le biais du rire !
Ce rire revêt de nombreuses fonctions, essentiellement sociales[2], que nous avons tous utilisées dans notre vie profane mais aussi en Franc-maçonnerie. Je vous en livre quelques-unes :
- Une fonction défensive vis-à-vis de situations anxiogènes comme peut l’être une cérémonie d’initiation pour celui qui la vit.
- Une fonction d’exclusion quand nous rions en groupe en gardant secret le code d’accès.
- L’acquisition de prestige qui se manifeste pour marquer une légère supériorité, face à des propos perchés ou pour masquer notre désarroi…
- Une sanction symbolique en réaction à un propos jugé excessif ou trop dérangeant,
- Ou bien encore l’expression de la joie individuelle et de la connivence, portés par un sentiment de sécurité au sein d’un groupe soudé.
Langage complexe qui met en lumière la position de chacun, le type de rapport qui lie les membres du groupe mais aussi le genre d’émotion qui les anime, le rire qu’il soit volontaire ou pas, nous échappe la plupart du temps et l’on est bien souvent incapable d’identifier clairement la raison de notre rire. Ainsi le rire est un élément central de la connaissance de soi mais aussi de l’autre : « Dis-moi ce qui te fait rire ; je saurai qui tu es ». Le rire est une composante de notre pierre brute mais aussi, si nous en prenons conscience, un outil qui peut nous aider à la dégrossir. Le rire est une sorte de couteau suisse, et en ce sens il est susceptible de nous intéresser, FF et SS qui aimons tant les outils.
Dans ce travail je ne développerai pas l’humour mais je lui consacrerai quelques instants, puisqu’on peut relever un comique maçon propre à la situation en loge. Je cite rapidement : les liaisons dangereuses entretenues par les uns et les autres (je parle de phonétique), les lapsus, les subjonctifs savonneux ainsi que les césures pas toujours à l’hémistiche… qui peuvent transformer de manière comique le sens d’un énoncé.
Il y a aussi la surprise provoquée par une situation incongrue, dans un instant qui se veut solennel : comme l’épée menaçante, mais escamotable, qui se rétracte au moment inopportun ; tel initié qui se pourlèche en buvant avec un plaisir visible son breuvage supposé d’amertume[3] ; l’apprenti aux allures de colosse affublé d’un tout petit tablier, assis à côté d’un maigrelet au tablier trop large ; ou encore un slip Play-Boy et son armée de lapins surgissant d’un pantalon, à l’occasion du traçage recueilli du tableau de loge que Mozart transcendait… Citons encore le rire de ceux qui sont à contretemps dans la batterie ; l’officier habité par le rituel qui lit tout, y compris ce qui ne se lit pas ; les choix audacieux de Jubal, comme une « Pink Panther » qui accompagne la dernière entrée d’un Vénérable « sortant » ; le rire puissant et singulier de certains qui contamine toute une colonne, puis tous nos cafouillages d’apprentis qui font rire gentiment comme des maladresses d’enfants. Enfin, il est un comique qui ne fait vraiment rire que nous : rirait-on dans la rue d’un individu portant une veste à carreaux noir et blanc ? Pourtant la chose devient irrésistible du moment où quelqu’un remarque que le brave FF visiteur, s’est habillé façon « pavé mosaïque ». Il est donc bien un humour sculpté à l’image du groupe socioculturel auquel nous appartenons,
Ces petites situations génèrent un rire aux multiples bienfaits, dans la mesure où il permet à chacun de se détendre. Entre rire et rite il n’est parfois qu’une toute petite lettre.
Je clorai là ma parenthèse humoristique pour aborder le rire en loge en trois parties : Tout d’abord le rire comme premier pas pour répondre à la question « D’où venons-nous[4] ? ». J’évoquerai ensuite le rire comme élément de connaissance de soi, et donc comme véritable outil maçonnique, dont nous examinerons les fonctions. Puis je vous ferai part de quelques réflexions concernant notre futur : « Où allons-nous ? » en analysant la place laissée au rire, pour enfin envisager la manière selon laquelle le rire pourrait nous élever.
D’où venons-nous ?
Je suis partie du postulat selon lequel le rire serait au commencement. Au commencement de l’aventure humaine.
Si l’on s’inspire de l’interprétation de J.J. Annaud dans « La Guerre du Feu », celle-ci en vaut une autre, le rire serait un maillon se posant entre le sauvage et l’homme. Dans cette vision en technicolor, notre propension à produire des séries d’expiration selon un certain rythme, nous aurait fait basculer dans l’humanité. En effet, pour qu’il y ait rire en dehors du chatouillement, il faut que l’esprit soit suffisamment évolué pour faire un lien ou déceler l’incongru.
D’un point de vue purement éthologique[5], on découvre que le rire apparait très rapidement chez le petit enfant humain : les cris commencent à la naissance, le sourire apparaît vers cinq semaines, puis le rire enfin qui se manifeste aux alentours du quatrième mois, avant le babil.
En référence à la Bible, Adam Biro[6], dans le dernier numéro de la « Revue des deux Mondes », faisant référence à l’humour juif, rapporte que « L’éternel » ordonna au premier couple juif d’appeler leur fils qui va naître Vitzhac ou Isac, autrement dit « celui qui rira »… L’auteur de l’article se pose quelques questions fort légitimes : que voulait donc signifier Dieu par ce rire, par ce nom ? Qui rira, Dieu lui-même ? Ou Isak le fils qui rira de son destin, de son devenir ? Dans cet exemple, même si les questions restent sans réponse, le rire serait au commencement d’une grande nation.
Nous qui cherchons à nous élever, pourrions donc bâtir sur le rire. Je reviendrai sur ce point.
Le rire fait partie des apprentissages et de socialisation de l’enfant et il est un moment où le rire réflexe, automatique, va tendre vers un rire socialisé, souvent volontaire qui sera celui du groupe et de la communauté où l’on va grandir. Ce phénomène est particulièrement observable chez les adolescents. C’est ainsi que le rire pur et lumineux du petit enfant, au fur et à mesure de son développement, va se doter d’une palette de nuances. Le rire expression simple du plaisir, va laisser place à d’autres sentiments. Progressivement le rire va recouvrir une part d’ombre pour prendre les teintes du pavé mosaïque. Le rire qui nous échappe devient alors outil.
Considérant le rire comme un élément de connaissance de soi, donc agissant comme un véritable outil maçonnique, Je vais examiner quelques outils du premier degré et leurs fonctions au sein d’une loge.
On rit en général avec les siens et ce qui réunit les uns sépare forcément des autres. C’était par une soirée à la chaleur radieuse, donnée par un négociant en spiritueux. J’étais encore profane. Je me souviens avoir surgi, à l’impromptu et déjà fort réjouie par mon parcours de dégustation, au beau milieu d’une discussion de groupe. A mon apparition notre hôte s’est soudain agité, fort préoccupé que la pluie ne vienne à gâcher cette belle soirée… J’ai rassuré le pauvre inquiet à coup d’arguments météorologiques, avec toutefois un sentiment mitigé, un léger malaise.
Dans cette anecdote toute l’ambivalence du rire se manifeste. On est dans l’équilibre parfait entre le rire AVEC et le rire DE : le rire d’un groupe complice et soudé dont l’objet est un élément qui est hors du cercle. Rire qui se nourrit précisément de la situation de l’individu extérieur, qui s’empêtre dans sa propre réalité et s’entête à démontrer le non fondement d’un propos… dont le contenu informatif est ailleurs. Il pleut !?
Pour poursuivre sur mon propre cheminement, un jour je n’ai plus été profane mais initiée… et je me souviens que le rire m’a suivi tout au long de mon initiation. Rire reflexe résultant de la prise de conscience de l’incongruité, voire du ridicule de ma situation ; prise de distance avec l’objet risible : moi-même avec ma corde au cou et ma chaussette en tire-bouchon, effectuant de pataudes déambulations. Rire mécanique de soulagement et de décharge de mon système nerveux, rire du petit enfant à qui on essaie de faire un peu peur et qui sait bien que c’est « pour de faux »…
Un peu plus tard, au second retrait du bandeau, j’ai été confrontée à des sourires, figures de bienvenue, rangées de dents qui se dévoilent en signe de non agressivité et d’accueil. Une marque d’apaisement, la première que voit l’initié lorsqu’on lui retire son bandeau après le tumulte qui a précédé. Sourire des parents qui rassurent leur petit dernier. A ce sourire on peut répondre par un rire non vocalisé, rire de pure expression de la joie et du plaisir d’être accepté dans une nouvelle famille.
Voyons maintenant en quoi le rire peut être assimilé aux outils du maçon.
Le rire assimilé au ciseau et au maillet pour travailler la pierre brute
En loge ce que l’on m’enseigne doit me servir à me construire moi-même. Le rire dans toutes ses nuances, peut alors être assimilé au ciseau et au maillet qui vont m’aider à tailler ma pierre brute. Ma TCS A.S.B., dans son travail sur le vent, disait qu’il nous aide à nous débarrasser du superflu en enlevant les poussières liées à la taille de notre pierre. Le rire est exactement cela, un vent tout à la fois léger et puissant qui emporte tout et fait place nette.
Le rire qui nait dans le miroir
Tout cela commence à l’instant où l’on se retourne et que l’on se voit dans le miroir. Quelle chose est plus risible en somme que l’Homme lui-même ? L’Homme qui se découvre comme objet imparfait et dérisoire ne peut être que risible (à ne pas confondre avec comique ou ridicule). Rire de soi, c’est être capable de se détacher. L’Homme découvre dans le miroir tendu, que sa propre image n’est peut-être pas son alliée. La découverte de moi me porte à rire de moi, non comme objet moqué, mais en tant qu’objet qui trouve sa place.
Le rire, c’est la règle
Le rire est aussi la règle, celle qui nous tape sur les doigts. Il est un rire qui sanctionne, réprime les excentricités et remet sur le droit chemin, celui de la règle, qui peut punir mais aussi indiquer la direction. J’en réfère à Bergson écrivant à propos du comique qu’ : « il exprime donc une imperfection individuelle ou collective qui appelle la correction immédiate. Le rire est cette correction même. Le rire est un certain geste social, qui souligne et réprime une certaine distraction spéciale des hommes et des événements.[7]»
Certains chercheurs considèrent l’humour comme une rupture, une transgression, la sortie du droit chemin ou le pas de côté, que l’on pourrait rapprocher à l’état du compagnon. Toutefois le compagnon qui veut faire le malin, prend le risque de se prendre un coup de règle. Le rire remet sur le bon chemin, momentanément en tous cas… Castigat ridendo mores : corrigeons les mœurs en riant…
Le rire comme un tablier
Parmi les fonctions du rire il est une fonction défensive, non des moindre. Un rire que je m’adresse à moi-même avant les autres, un rire qui me rassure comme le ronron d’un chat malade, un rire qui me permet de préserver la face lorsque l’on m’a agressé et que je suis devenu, contre ma volonté, objet risible : le rire des autres peut parfois être aussi corrosif que du vitriol ! Ce rire c’est mon tablier. Il me protège des éclats qui se détachent lors du façonnage de ma pierre brute. Il peut me préserver tout autant des autres que de moi-même.
Rire et vitriol
Concernant le vitriol du maçon, la descente dans la connaissance de soi exige de faire tomber le masque, de se voir tel que l’on est, dépouillé de ses métaux et dépossédé de son apparence.
Le rire nécessite complicité et la complicité que nous entretenons avec nous-même ne peut être effective qu’une fois que nous avons « rectifié ». Il me semble que le noyau insécable que nous cherchons au plus profond de nous-même, pourrait être accessible via le rire. J’ai passé quelque temps en enfer et à ma grande surprise, le voyage a été fructueux. De pouvoir rire de moi réduite à l’état de singe nu, d’un bon rire de femme vivante et qui entendait le rester, d’avoir touché l’essentiel, m’a permis de me redresser et de rebâtir. La nudité absolue, sans artefact derrière lesquels se dissimuler, le recul de l’orgueil, le repositionnement de la dignité et la prise de conscience de l’absurdité de tout ce qui ne relève pas de l’élan vital, sont décidément choses risibles[8].
En loge il est aussi des moments propices au rire
Si la formation de la chaine d’union ne porte pas au rire, elle invite au sourire. Le sourire spontané qui fleurit sur un visage qu’il semble éclairer de l’intérieur n’est pas un-sous rire, comme on a pu l’écrire, mais une expression dépourvue d’agressivité, un geste d’apaisement que certains ont attribué au Divin, et que les grands singes possèdent aussi... Sourire béat de celui qui est bercé par une chaine puissante et rassurante et qui chantonne à son insu, sourire amusé d’une autre qui surprend sa sœur manifestant les symptômes du mal de mer, car prise à la rencontre de deux courants elle n’est point bercée mais écartelée et lutte vaillamment. Sourires de complicité de ceux dont les regards se croisent, sourires sans malice, sourires du plaisir de participer de la cohésion du groupe.
Il est enfin un rire qui réunit, un rire de plaisir pur, celui d’être ensemble, de se retrouver et accessoirement de passer à table : Le rire de l’agape, qui après quelques santés n’est peut-être plus tout à fait celui de l’Homme éclairé…Qu’importe ! L’agape est le moment de la communion et quoi de mieux après avoir partagé le pain et le vin, que de partager le rire et les chants. Ce rire qui est l’essence même de l’égrégore, n’est-il pas le plus beau, ne fait-il pas du bien à tout le corps, ne met-il pas l’esprit en communion ?
Ou allons-nous ?
L’Homme a été doté par la nature d’un don puissant, qu’il se doit de savoir utiliser pour vaincre les aléas de la vie, et pourvoir survivre plus sereinement. Ce don, disait Pagnol que « Dieu a donné aux hommes pour les consoler d’être intelligents », serait surtout un cadeau destiné à nous aider à dépasser les angoisses liées à notre condition, et peut être à rendre plus belle notre nature humaine…
Pourtant depuis quelques décennies il est observé qu’on ne rit de moins en moins et quand on rit, on ricane. On se moque de son prochain qu’on filme en catimini, on juge, on évalue, on « casse » en affichant le plus laid des masques du Carnaval. Ce n’est pas vraiment nouveau, Hugo l’avait déjà fort bien décrit… Certains ont assimilé le rire aux pleurs, les deux relevant d’un même phénomène, mais nous ne sommes pas plus capables de rire que de pleurer car pour exprimer l’un ou l’autre, il faut identification, empathie et considération, valeurs qui ne sautent pas aux yeux dans les médias communautaires.
Il nous faut donc réapprendre le rire, celui que Pagnol[9], faisant écho à Bergson, qualifie de sain et de reposant et qui a lieu lorsque le rieur se sent supérieur à l’objet risible. Rire qui vient en opposition au rire qualifié de négatif, de mépris, qui se réalise lorsque le rieur prend conscience de l’infériorité de l’autre. Ce rire qui rabaisse pour faire boire l’autre à la coupe d’amertume, devrait idéalement tendre à disparaitre avec les éclats de notre pierre brute. Le rire AVEC l’autre doit prendre le pas sur le rire DE l’autre. Notre rire doit nous élever sans rabaisser quiconque. Et là, oui nous pourrons affirmer que le rire de l’Homme éclairé n’est pas celui de l’imbécile.
Et après ?
Je conclurai par la voix du moine Jorge, créé par Umberto Eco, qui clôt l’intrigue du roman Le Nom de la Rose[10] : « Le rire libère le vilain de la peur du diable. Se libérer de la peur du diable est sapience. Quand il rit tandis que le vin gargouille dans sa gorge le vilain se sent le maitre car il a inversé les rapports de domination. Le rire serait le but de l’homme. Le rire distrait quelques instants le vilain de la peur. Mais la loi s’impose à travers la peur, dont le vrai nom est crainte de Dieu. Au moment où il rit peu importe au vilain de mourir. […] De ce livre pourrait naitre la nouvelle et destructive aspiration à détruire la mort à travers l’affranchissement de la peur ».
Résumons-nous : d’où venons-nous ? D’une plaisanterie du Divin, d’un bug quelconque, d’un éclat de rire ? Le rire serait l’un de nos premiers modes de langage, précédant la parole. Un mode de communication purement animal à l’origine, qui se socialise au contact de l’Homme. Le rire sain, positif, nous permettrait de toucher le noyau insécable sur lequel bâtir solidement, il serait outil mais encore connaissance pure. Où allons-nous ? Vers la mort. L’Homme qui rit de lui-même et de la fatuité du monde qui l’entoure, l’Homme qui ne craint plus la mort, celui-là est un philosophe, celui-là est réellement un homme libre.
Alors FF et SS : Rions en attendant la mort.
J’ai dit[11].
L.C.
[2] SMADJA Eric, 1998 : Entretien in Sciences et Avenir, N°spécial : Le Rire, p17
[3] Le Fernet Branca n’était peut-être pas une bonne idée…
[4] « D’où venons-nous ; où allons nous ? » était la thématique de l’année proposée par notre VM
[5] MORRIS Desmond, 1992, La Clé des Gestes, Paris, Grasset ed. (1ère édition 1977) p257,259
[6] BIRO Adam, 2018, Quelques aspects de l’humour juif, in Revue des Deux Mondes, Paris, pp 61-67
[7] BERGSON Henri, 1995, Le Rire, Paris, PUF (1ère édition1899), p67
[8] L’exemple est extrême mais on ne peut plus parlant.
[9] PAGNOL Marcel, 1947 : Notes sur le Rire, Paris, Nagel ed. p 42,43
[10] ECO Umberto, 1983, Le Nom de la Rose, Paris, Grasset, p593, 596
[11] Pour rédiger ce travail, je me suis inspirée des ouvrages suivants :
COUTE Corinne 1998 « 14 manières de rire » in Sciences et Avenir, N°spécial : Le Rire, juillet/août 1998
DEFAYS Jean Marc, 1996, Le Comique, Paris, Seuil, 94p
DUVIGNAUD Jean, 1985, Le Propre de l’homme, Histoires du Rire et de la Dérision, Paris, Hachette, 246p
ESCARPIT Robert, 1960, L’Humour, Paris, PUF, 127p
JEANSON Francis, 1950, Signification Humaine du Rire, Paris, Seuil, 213p
PROVINE Robert, WEEMS Helen, 1998, « Le Rire des Singes » in Sciences et Avenir, N°spécial : Le Rire, juillet/août 1998
SMADJA Eric, 1993, Le Rire, Pari, PUF, 126p
En espérant n’avoir oublié personne…