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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 00:04

Les sept arts libéraux

       ou        

l’exaltation de l’âme

 

Les arts libéraux, ont dans la franc-maçonnerie de tradition, une aura particulière qu’il nous semble utile d’expliquer.

 

Sans cesse le franc-maçon cherche à se relier à une tradition ancienne qui est bien souvent plus légendaire qu’historique. C’est bien qu’il en soit ainsi, nous faisons consciemment parler notre cœur, en nous retirant d’un débat aussi aride qu’intéressant qui est celui d’une vérité historique dûment fondée sur des textes.

 

Les textes ne disent que ce qu’ils veulent dire, en dehors des intentions orientées de leurs commentateurs, et la légende, plus forte que tous les raisonnements universitaires parlent à cet autre nous-mêmes, celui de la quête infinie d’un idéal divin.

Parfois, pour les besoins d’une démonstration ou d’une croyance, nombre d’entre nous n’ont pas hésité, aveuglés par les convictions qui nous animent, à orienter l’interprétation d’un texte, à supputer un rapprochement entre deux faits historiques, préférant ainsi créer un lien doctrinal, plutôt que d’émettre une simple hypothèse.

Si une preuve irréfragable ne peut être rapportée, c’est l’analogie qui nous permet de faire des liens troublants.

Ainsi les mythes et légendes sont des éléments probants de la connaissance initiatique.

Avertis par ces constatations, nous allons essayer d’analyser la pertinence des arts libéraux dans la vie d’un tailleur de pierre du Moyen Âge, en précisant que nous émettons une simple hypothèse.

 

La question préalable est de vérifier si les arts dits « libéraux » appartiennent bien au corpus initiatique des maçons opératifs ou s’ils doivent être rattachés à une autre filiation.

Cette démarche, suivant le résultat obtenu, nous permettra d’établir un pont avec la source potentielle de la franc-maçonnerie opérative, voire spéculative. Elle contribuera, nous l’espérons, à éclairer les tenants de la théorie de l’emprunt qui distingue la maçonnerie pratique et la maçonnerie spirituelle, comme on distingue l’alchimie pratique des souffleurs de l’alchimie spirituelle des « cherchant » et de vérifier le bien-fondé de la théorie de la transition qui nous relie au « livre des métiers » de 1268 d’Étienne Boileau et autres.

 

Est libéral un art pratiqué par un homme libre de son jugement, et ne concerne que les disciplines libres de toutes contingences. Notre définition fait rejoindre le point de vue antique qui s’affranchit de la matière et le point de vue moderne du libre arbitre détaché du cadre corporel, fut-il religieux. Ainsi les arts libéraux sont les servants de la description et de la compréhension de l’essence des choses.

 

Les arts libéraux sont cités dans de nombreux rituels maçonniques tels le Régius dés 1390. Qu’ils soient de type anglais ou écossais, qu’ils soient anciens ou modernes, qu’ils reposent expressément sur les Anciens Devoirs ou sur la structure du Masson Word. De nos jours on en retrouve des traces dans nos rituels.

Le solde positif des 7 arts libéraux est la Géométrie, compendium de l’art du trait, fondement pratique du grade de compagnon.

La géométrie semble occuper le domaine périmétrique de la pratique architecturale, c’est une fausse idée. Le cinquième des arts est la première porte d’accès sur la métaphysique, pour un bâtisseur du moyen-âge.

La géométrie exhale et libère le cœur de la matière.

 

Le lien fondateur qui justifie explicitement l’intégration des arts libéraux aux corpus de la maçonnerie est Vitruve l’architecte romain du 1er siècle av. J.-C. qui produit le premier traité d’architecture mentionnant les arts libéraux sous un angle utilitaire et technique.

 

Faut il préciser qu’il ne fut jamais philosophe ou musicien, mais rien ne dit non plus qu’il ne fut pas sensibilisé. Quoi qu'il en soit, la source est incontestablement antique, et connue de Platon. C’est sur cette source néoplatonicienne que la maçonnerie des Anciens Devoirs entend se souquer. Cette antériorité livresque plaide pour la constance immémoriale et invérifiable de la source première. C’est ainsi que naissent les légendes et les mythes.

 

C’est Marius Cappella qui en 400 fit la liste septénaire que l’on connaît. On les divise en « Trivium » qui sont les arts du langage pour comprendre les écritures et « Quadrivium » pour les arts du nombre, pour comprendre comment Dieu a organisé le monde « en mesure, nombre, poids ».

Il établit un cycle septénaire de sciences qui ne touchent pas aux choses mortelles comme la médecine et aux choses terrestres comme l’architecture.

Ces sciences sont supposées permettre de s’élever au niveau du divin, en libérant l’âme, ce qui exclue la matière.

Il s’agit donc de s’élever au plan spirituel.

Le cycle s’explique aussi, à notre avis, par la parenté et l’origine unique des dites matières, qui nous font côtoyer la parole perdue. La mère de toutes les sciences est pour les Grecs la philosophie. Dans un but doctrinaire et hégémonique, la théologie chrétienne se substitua à la philosophie grecque. La révélation unique se substitua aux multiples vérités.

On peut conclure que ces arts dits « libéraux » devinrent une propédeutique à l’étude théologique.

 

Les arts libéraux sont cités dans de nombreux textes et manuscrits anciens, appelés Anciens Devoirs ce qui semble témoigner de leur authenticité dans une continuité et une constance. Ils font partie du corpus que doit connaître le compagnon et dans ce corpus figure évidemment le cinquième art qui est le premier dans le métier, celui de la Géométrie. Il nous semble évident que la Géométrie crée le lien entre opératif et spéculatif, la science est à la fois de la matière et de l’esprit. Ainsi Dieu sera le grand Géomètre. La géométrie est le langage de l’architecte et l’architecture est servante du sacré. La géométrie est donc d’essence sacrée, ses secrets doivent nous révéler le schème, le plan divin.

La situation n’est pas si simple. Si un compagnon doit savoir faire un relevé et un tracé géométrique qui justifie sa future qualification de maître, doit-il pour autant étudier les autres arts libéraux ? Que viennent faire la rhétorique, la grammaire, ou la musique avec la statique et le tracé d’ogives ?

Voyons ce que l’histoire peut nous apprendre à ce sujet.

 

Les arts libéraux sont bien connus depuis l’antiquité et le moyen-âge en fit un passeport pour l’étude biblique. C’est donc les clercs de l’église et les moines qui se dotèrent d’outils, appelés Arts libéraux, pour mieux comprendre et étudier la Bible. Au surplus ces arts constituent le fondement de l’éducation cléricale et bourgeoise du moyen-âge. Il s’agissait donc de la grammaire, de la dialectique, de la rhétorique et de la logique, qui armèrent nos moines dans leurs études.

 Ces arts sont considérés comme supérieurs aux arts mécaniques dits « inférieurs » qui appartiennent à l’artisanat dont fait partie la taille de la pierre. Ils servirent à l’éducation morale plus qu’à l’exercice de style.

 

Il s’agissait d’ouvrir l’esprit des opératifs pour les aider à communiquer avec leurs prescripteurs. C’est là, dans un premier temps, affaire de nécessité.

 

Dans le même registre, il était bien affirmé dans les Anciens Devoirs, la nécessité de respecter le pouvoir du seigneur, soumission au pouvoir temporel de droit divin. La différence tenait au caractère progressif à sept degrés de cet enseignement, à une époque où l’on pouvait tout apprendre et devenir un « savant ».

 

Il existe un autre apport à la pratique des arts libéraux. Cet apport consiste non seulement à la production d’une élite au sein de la classe artisanale, mais aussi à faire la distinction entre ceux qui sont aptes à connaître et concevoir et ceux qui ne seront que de simples exécutants.

 

Ces esprits sélectionnés par la difficulté de mise en œuvre de ces arts étaient d’office les gardiens des secrets de la profession.

Ces secrets étaient relatifs aux rituels de fondation des ouvrages, aux mélanges des mortiers et ciments, aux techniques de découpe et de placement des pierres et clef de voûte, mais aussi, et surtout, ils étaient détenteurs des secrets de la géométrie de la construction et de l’élévation des colonnes, des ogives et des dômes sur bases carrées. Ces secrets n’étaient pas entre les mains du clergé.

C’est donc aux clercs que revient la maîtrise des arts libéraux, plus qu’aux maçons, sauf peut-être, à une petite élite qui se détache de la masse et qui dans une soif d’entreprendre et d’apprendre, se rapproche de l’institution cléricale. Ce rapprochement n’est pas douteux, car il est nécessaire à la bonne conduite des travaux.

Le chanoine est le premier architecte connu du moyen-âge. C’est lui qui dirige les travaux. L’église et le monastère sont les donneurs d’ordre principaux de cette époque. Il n’est donc pas anormal que le contact forcé des deux univers produise un résultat qui propose la perfection de soi, pour la perfection de l’œuvre divine.

 

C’est ce que nous appellerons la production du Chef-d’œuvre, dont la double perfection est au bénéfice de l’ouvrage cultuel.

Le Chef-d’œuvre est toujours dédié à un Saint à une Église ou à un Roi. Cette connexité plaide pour cette maçonnerie spirituelle. C’est une ascension de l’esprit qui s’appuie sur l’amélioration du tour de main en conscience et en perspective d’un but intellectualisé. Il est impossible de travailler sur le chantier d’une cathédrale sans en connaître le dimensionnement intellectuel et spirituel. Cette affirmation est d’autant plus pertinente si elle s’adresse au chef du chantier et à

ses adjoints. Tous ne pouvaient être des clercs formés dans un cursus classique.

Il est donc hautement probable qu’il ait existé une maçonnerie spirituelle composée à la fois d’opératifs éclairés et volontaires et de cléricaux rompus aux arts libéraux, socle ordinaire d’expression et de pensée commune.

Le maître était suffisamment aguerri aux arts libéraux, même de manière superficielle, pour entrer dans un dialogue fructueux avec le chanoine, ou l’évêque. Inversement, on a connu Des Moines bâtisseurs, cisterciens notamment, sans doute éduqués, bons praticiens dans le maniement du maillet et du ciseau.

Le maître maçon n’était pas la brute épaisse que l’on peut imaginer.

 

Le maître maçon s’oblige à l’étude des 7 arts libéraux comme préparation à l’étude de la Bible et donc à la sagesse chrétienne. Connaître la Bible c’est comprendre la dimension sacrée du bâti et l’élévation à donner à l’architecture. Les cathédrales gothiques aux flancs desquelles étaient installées les loges de tailleurs de pierre témoignent de cette élévation de l’âme. Pouvait-on s’affranchir de la pesanteur de la matière sans élever son âme par l’étude et le perfectionnement ?

 

Une cathédrale n’est pas uniquement affaire de technique. La théologie est omniprésente, l’harmonie des formes fait écho aux harmonies musicales et à la sonorité du lieu, la proportion des corps sous l’enseignement de la médecine se retrouve dans la statuaire et la divine proportion, la grammaire et la rhétorique ordonnancent l’explication et la lecture logique du livre de pierre. Aucune des sciences d’élévation de l’âme n’est superflue, toutes se conjuguent dans l’exhaussement du genre humain.

 

Dans ce cadre, l’architecture n’est que la figure servante et technique des 7 arts libéraux.

Par son élancement et ses ruptures d’ogives, sa transparence cristalline, la cathédrale libère enfin l’esprit enfermé dans la matière.

 

L’étude de la Bible n’était pas à cette époque uniquement exotérique, elle était aussi ésotérique. C’est ce dimensionnement dans l’interprétation des écrits sacrés qui est véritablement initiatique et que l’on retrouve illustré dans le bâti sacré.

Dieu est omniprésent dans le quotidien du maçon et dans le vécu de la confrérie à laquelle il appartient. Sa vie en est « réglée » à la manière Des Moines, si l'on en croit les anciens devoirs. Les rituels maçonniques ne font rien d’autre que d’assimiler les cycles de la nature que Dieu a laissé se manifester.

À l’évidence, le maçon construit la maison de Dieu. Il éventre la terre des enfers pour ses fondations puis il tutoie la puissance céleste du haut d’un clocher.

À l’issue de ces constatations nous pouvons émettre l’hypothèse que les arts libéraux, dans une application superficielle au métier, étaient d’origine ecclésiale. Le but d’interpréter les textes sous l’angle ésotérique, à permis aux générations de maçons qui se succédèrent sur les chantiers, de parler d’une même voie et d’amener progressivement l’architecture, sous couvert de la Géométrie, d’une science technique inhérente à la matière, à une science de l’élévation de l’âme et de l’esprit.

 (...)

Y a-t-il une actualité dans la pratique des arts libéraux ?

 

De nos jours les maçons spéculatifs trouvent-ils une quelconque élévation de l’esprit dans l’étude des arts libéraux ?

Loin d’être obsolètes, les arts libéraux mettent le franc-maçon sur la voie de la logique et de l’harmonie, tout en affirmant clairement sa pensée.

Le travail du maçon spéculatif se résume dans la taille de sa planche, œuvre de l’esprit. Le but est le même que celui des opératifs, construire un temple, temple de l’esprit et temple intérieur pour les spéculatifs. L’harmonie et la perception juste de l’univers sont les préalables nécessaires à la production de l’œuvre. C’est ainsi que l’on enseigne encore les ordres d’architecture, et que l’on tâche de travailler sur les cinq sens qui viennent alimenter notre boîte d’os.

Pour ceux d’entre nous qui voyaient dans cet enseignement, une vague trace d’un passé révolu, qu’ils en sont pour leurs frais. Ces disciplines sont actuelles et indispensables à la progression initiatique et ne peuvent être remplacées par aucune modernité ni virtualité numérique. Réactualisées dans leur sens initiatique, elles enracinent et fondent le socle de la progression pour l’étude des textes sacrés.

Le malentendu pour nos contemporains est de percevoir ces sciences libérales et leurs accessoires, sous l’angle de l’actualité des nouvelles sciences dont la contrepartie est la rentabilité du produit. C’est une des conséquences du productivisme de la pensée moderne que de vouloir transformer un art ou une science en technologie rentable. C’est l’éternel combat entre tradition et modernité dont les arts libéraux font les frais.

Ces arts sont du niveau du compagnon. Il doit les connaître pour passer au grade de maître et changer d’univers. Symboliquement il gravit un certain nombre de marches, il s’élève spirituellement tout comme il gravit les échelons représentés par les barreaux de la Scala Philosopha. Arrivé au sommet, il entrevoit la figure de Dieu pour les opératifs et il accède à la chambre du milieu pour les spéculatifs.

C’est une mort et une résurrection dans la plus pure tradition chrétienne. Tel Lazare, le premier ressuscité de la Bible, le maître se relève et son âme s’exalte, se détache de la matière.

C’était bien le but initial de l’enseignement des sept arts libéraux : exalter l’âme du corps.

 

La théorie de la transition tout comme la théorie de l’emprunt s’accommodent fort bien de l’usage des arts libéraux dans les rangs des opératifs. Il me semble que le poids de l’église étant si important, le pouvoir des clercs « scribes » dans les assemblées de métiers et des confréries, perfusera une pensée opérative rythmée par l’église. En retour, la technique opérative infusera dans l’esprit clérical.

 

Je pense que les premiers maçons acceptés, depuis fort longtemps, furent les moines bâtisseurs du moyen-âge roman. Les intellectuels rose-croix, et autres familiers de la royale société, typiquement spéculatifs arrivèrent bien plus tardivement, avec dans leurs bagages l’initiation rose croix. C’est ainsi que la rose du bâtisseur rencontra la rose sur la croix.

On peut dire que l’« acceptation » dans les confréries et les corporations a toujours existé et que l’« emprunt » par les « modernes » anglais est hautement probable.

 

Nous vivons sur la richesse de ces espaces-temps, et nous pouvons affirmer qu’il existât une initiation de métier fondée sur l’ésotérisme de l’interprétation des textes chrétiens, dont le but était la construction de la maison de Dieu, prise pour temple de Salomon dans son sens ontologique. Le maçon spéculatif continua l’édification de son temple intérieur en prenant exemple sur les Chefs d’œuvre dédiés des anciens. Cette continuité repose sur l’élévation des connaissances pour atteindre la perfection du Chef d’œuvre.

 

On ne peut affirmer de manière péremptoire qu’il n’y a pas eu transition. Au plan initiatique, il a suffi que trois maçons spéculatifs soient acceptés dans le temple opératif pour que ceux-ci revenant, ou créant une loge spéculative, transmette valablement la continuité de la chaîne initiatique. Il est donc clair que la maçonnerie spéculative est bien régulière dans son lignage. De plus il est certain que nombre de loges se créèrent, à l’imitation des loges opératives auxquelles elles empruntèrent leurs attributs, codes et outils. Il suffisait alors qu’il y ait parmi eux des acceptés ou des maçons de métier dûment initiés pour que la chaîne de la transmission se poursuive, augmentée, par d’autres influences.

 

Notre avis est que les deux théories, celles de l'emprunt et celle de la transition s’appliquent pour le bien de l’ordre maçonnique contemporain. Les arts libéraux témoignent par leur universalité que l’élévation de l’âme peut être la chose la mieux partagée dans les idées comme dans leurs « mises en Œuvre », que l’on soit de tradition opérative ou spéculative.

(...) 

 

Eri\Rom\

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