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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 11:37

Histoire, vérité et réalité d’un rituel maçonnique.

L’esprit rationnel réclame la preuve documentée suivant les modalités de la recherche historique, seulement voilà que la dimension initiatique et les rites qui l’accompagnent échappent à l’histoire et à la preuve documentée. Ce n’est pas pour autant que l’initiation échappe à la réalité, bien au contraire puisse que l’initiation repose sur l’expérience. Nous allons tenter une mise en parallèle de la méthode historique qui relate des faits réels qui se sont déroulés dans le monde réel et de la méthode initiatique qui relate l’intention et la vision consciente à l’intérieur d’un ordonnancement de faits réels. Notre but sera de démontrer que la méthode initiatique par ses effets sur notre conscience augmente la profondeur de champ d’une réalité perceptible que l’histoire ne relate que superficiellement.

1/ La vérité d’un rite initiatique et son histoire documentée.

Peut-on répondre à cette question : est-il possible par le document historique de retrouver l’origine d’un rite ?

Il faut étudier le rite, et comprendre que la vérité initiatique se distingue de la vérité historique.

La vérité historique se fonde sur le fait avéré situé dans la flèche du temps, la vérité initiatique se fonde sur l’intention située hors du temps appelée « reliance » et « connaissance ». Nous pressentons que ces deux univers ne se nourrissent pas des mêmes informations, mais appartiennent a un même vécu sur une base réelle. L’histoire appartient au réel documenté qui se nourrit de la preuve, du fait dont on témoigne, l’initiatique appartient à un « réel augmenté » qui se nourrit du non-temps et du non-lieu pour être agissant et dont aucun document ne témoigne. Si l’initiatique maçonnique repose sur des rites nous devons vérifier si l’histoire démontre l’origine et détermine l’auteur d’un rite maçonnique.

Un rite maçonnique a-t-il un auteur ?

Un rite maçonnique n’a que des transmetteurs, car ici l’auteur appartient par nature à une collectivité humaine immémoriale. Ceci est le point de vue de l’initié, mais est-ce celui de l’historien ?

Ce que l’historien veut déterminer, c’est l’origine du rite, sa date et son lieu de naissance et ses sources documentées. Mais le propre des rites maçonniques est de renvoyer leur naissance dans l’espace immémorial du métier pour les francs-maçons et dans les confins des sources ancestrales de la conscience.

Cette conscience naîtra des grandes questions liées au mystère de la vie et de la mort, de la création et de la transcendance.

Les rites maçonniques n’ont ni auteur ni droit d’auteur, il n’y a que des transmetteurs qui aménagent le rite précédent en fonction d’une intention de reliance adaptée à leur siècle. Ainsi la franc-maçonnerie existait bien avant 1717, il suffit de regarder les loges régimentaires Stuartistes. Prenons l’exemple du Régiment Walsh qui des 1688 selon G. Bord, constitua en son sein une loge régimentaire. Sa filiation n’est autre que la pratique « villageoise » des différents Frères d’origines et de métiers différents qui la constituaient. Ils n’appliquaient pas un rituel précis si ce n’est celui né de leurs différentes origines. Ils en étaient les auteurs anonymes et sans prétention en regard du respect des grandes lignes de leurs anciennes pratiques. Ils ne faisaient qu’appliquer et adapter à leur milieu une pratique déjà ancienne (adaptation conventionnelle). Le milieu interfère donc sur la mise en pratique. Notons que l’influence rose croix et chevaleresque chez les officiers participant à ces loges, allait modifier sensiblement les rituels et favoriser l’élaboration de grades supérieurs. Les Stuarts feront beaucoup pour enrichir cette maçonnerie continentale et le discours de Ramsay viendra couronner cette influence, où la politique de reconquête s’associa à la dimension secrète et sacrée de l’initiatique.

Ici nous pouvons dire qu’il n’y a pas d’auteurs, mais une pratique « générique » impactée par des influences multiples coté Stuarts, sur une base calquée sur le schéma des opératifs. Ce schéma toujours constant est commun à tous les rites dits initiatiques de métier reposant sur la connaissance, mais aussi de l’Église ou des chamans reposant sur la croyance. Cette base repose sur 8 ou 9 phases identifiables. Le but est « d’incorporer » un processus de séparation du tumulte profane, « d’animer » un état d’âme de cherchant par une mise en tension (notion de quête), de « spiritualiser » et d’assimiler un métalangage, par des techniques collectives de concentration, de perception archétypale et de mémorisation. Il est entendu que le métalangage dans ce cas repose sur la vision, l’extrapolation symbolique et analogique au-delà de l’expression discursive et de l'image descriptive.

D’un certain point de vue l’initiation dans ses 8 ou 9 étapes successives, impacte le corps, l’âme et l’esprit (voir dans le même sens : Livre de l’Apprenti au REP Juin 2013 au chapitre réception, idem Livre du Compagnon). L’initiation par ses rites, établit le lieu séparé du profane (1), présumé sacré (le cabinet de réflexion et la loge-temple) par la mise en scène d’un « passage »(2) qui est à la fois une plongée en soi et l’entrée dans le non-temps et le non-lieu du temple de lumière qui permet le cheminement des épreuves (3) et leurs mises en pratique ou en perspective spirituelle (4) aboutissant à la pseudo mort sacrificielle (5) et à une véritable renaissance en esprit ou en conscience (6). Puis vient le temps du serment avec l’appel à témoin de l’autorité surplombante (7), l’illumination (8) et l’intégration dans la chaîne immémoriale des « initiés » (9). Nous comprenons que l’initiation va étendre le domaine du réel à une dimension symbolique et analogique « éclairante ».

Cette conscience « éclairée » s’appuie sur l’expérience (orthopraxie) de la perception spirituelle et individuelle de la « réalité », représentée par la matière et la forme (soi-même et le monde, mise en perspective de la réalité), dans le but d’édifier d’un chef d’œuvre individuel et collectif.

Ce chef d’œuvre éthique et/ou métaphysique, synonyme de perception élargie du réel, contient et conserve une reliance à plus haut (le Temple dans sa dimension intérieure et collective).

Cette base rituelique est commune à la fois aux religions fondées sur la croyance et la foi d’une part, et aux traditions initiatiques fondées sur la connaissance et la gnose d’autre part.

Dans une autre dimension historique, prenons le cas de Willermoz. Ce dernier en 1778 fit apparaître dans le rituel de la SOT une dimension théosophique et préchrétienne. Est-il l’auteur de ce rite ? À mon avis il enrichit la trame de la variante d’un rite initiatique Stuartiste existant. Il est donc l’auteur d’un enrichissement en puisant dans une théosophie dont il ne prétend pas être l’auteur, mais l’interprète « inspiré » ! L’auteur n’est relié qu’à lui-même, l’interprète est en reliance avec un plus haut fondateur via une chaîne humaine de transmetteurs qualifiés ou « inspirés ».

Donc nous ne pouvons pas parler d’auteur d’un rite pour la raison que la structure du rite traditionnel est souvent reprise dans ses grandes lignes et reste à peu près immuable. L’inspiration du transmetteur ne lui appartient pas en propre, mais reste attachée à une intention de reliance et de vision qui a toujours dominé l’initiation. Cette reliance du pseudo auteur est située dans un plus haut et/ou dans un plus ancien, qu’ils fussent spirituels ou pratiques. À chaque fois que nous voulons nommer l’auteur d’un rite ce dernier en esquive l’attribution suggérant l’ancienneté préexistante de son apport. Il s’agit toujours d’un apport, d’un enrichissement sur une base ancienne, et non pas d’une création ex nihilo. On pourrait, sur cette base, démontrer que le rite opératif de Salomon, né en 1971/74 n’appartient pas à ses auteurs qui au final ne sont que des transmetteurs « inspirés » chargés de synthétiser la dimension opérante des rites maçonniques et compagnonniques. Donc la paternité d’un rite se veut anonyme, et d’origine immémoriale même si l’apport « éclairant » d’un individu est manifeste. La notion d’auteur et d’interprète de la reliance est mal comprise et crée un hiatus entre l’historien et l’initié.

La pratique ancienne n’appartient à aucun auteur.

L’histoire ne permet pas de retrouver l’auteur d’un rite.

Un rite initiatique est inappropriable. Il appartient à tous ses pratiquants potentiels qui démontrent leur transmission et mise en œuvre conforme. Ces rites appartiennent au patrimoine commun de l’émergence de la conscience humaine. C’est à ce titre que nous devons les protéger dans leurs processus, les conserver et les faire vivre.

Pratiquer un rite maçonnique, relève d’une démarche ontologique basée sur une orthopraxie et une légende qui se transmettent dans une chaîne sans fin. Ceci constitue une difficulté pour l’historien qui se heurte à la légende incontrôlable dans sa diffusion verbale et à des rituels non écrits, précisément formés autour de la parole, du geste, et d’un langage non verbal bien plus subtil que nous l’imaginions. C’est une collectivité d’initié qui est dépositaire de la pratique, un éventuel auteur ne serait qu’un interprète parmi d’autres biens plus nombreux. Donc, un éventuel auteur que nous considérons plus comme un interprète ne serait qu’un artefact, un élément dans une chaîne de filiation qui le dépasse, et qui nous dépasse.

Des organismes ad hoc se sont créés spontanément afin de protéger l’essence et garantir la pratique de ces rites ainsi que la traçabilité de la filiation. Ils diminuent les effets de la dénaturation due au temps. Leur objet ne devrait pas consister en l’appropriation d’un bien immatériel témoignant de l’humanisation de l’homme, mais plus simplement d’en garantir le respect.

Toutefois ces rites maçonniques pratiqués aujourd’hui sont comparables dans leurs fondements, aux traces écrites et manuscrites le XVII et XVIIIème siècle, qui n’ont cessé d’être transformées. Ils ont dans leur ADN la trace des deux rites anciens de métier : ceux des Anciens Devoirs remontant à 1390 et 1410 (Regius et Cook), et ceux du rite écossais du Mot de Maçon remontant à 1637 ; qui eux-mêmes sont héritiers de rites plus anciens, voir antiques.

Les rites sont toujours fondés sur une base ancienne « reformée et réformée » dans leur présentation, mais rarement dans leur structure agissante (les 8 ou 9 phases abordées plus haut). Ce fut le cas des travaux d’Anderson et Désaguilier en 1717, 1723, 1737, etc, qui en conservent les bases. Les rites ne sont donc pas « inventés », ils sont tout au plus réaménagés suivant des modèles anciens et dans l’air du temps (politique, religieux, philosophique, etc.). Ces modèles anciens relèvent de schémas puissants et constants depuis la nuit des temps et fonctionnent sur la notion d’épreuves élémentaires, de passage aboutissant à l’émergence d’une conscience du non-espace et du non-temps.

Le poids de la pratique validant la structure agissante d’un rite initiatique sera toujours plus puissant que l’interprétation écrite, ou l’habillage cosmétique de quelques maçons « éclairés ». Ces derniers seront rattrapés par la puissance des filiations anciennes qui se réactualisent constamment au contact de l’esthétique contemporaine. Autrement dit les schémas directeurs sont plus forts que les aménagements rituéliques conventionnels. Le rituel ne sera jamais que le servant d’un schéma fondateur qui appartient au cheminement de la conscience éclairée de l’humanité.

2/ Quelle réalité et quelle vérité dans un rite initiatique ?

La pratique du REP porte en elle un constat qui s’appuie sur une phrase de Robert Ambelain et PL : « il n’y a pas d’autre initiation que dans la réalité », et sa variante : « il n’y a pas de plus grande initiation que la réalité ». Encore faut-il « voir » toute la dimension du réel.

Cette vision élargie du réel est le but de l’initiation et entraîne ce que j’appelle une « extension du domaine du réel ». Le REP, notamment dans sa mise en œuvre de la légende d’Hiram et dans le relèvement par les cinq points, va nous apprendre concrètement ce qu’est cette extension du domaine du réel jusqu'à une dimension sacrée. (Voir le Livre du Maître p 190 et suivantes. )

La vérité historique est mouvante et relative et ne permet pas de sortir du fait établi qui se substitue à un fait établi précédent : nous sommes dans une bataille opposant le document « historique » à la pratique verbale sans preuve. Le document n’est pas opérant au plan initiatique, car il ne relate qu’une vérité temporaire, reliée au temps qui passe. C’est un indice extérieur et temporaire. Tels fait ou document seront dépassés par un autre demain… Ce n’est pas le cas de la vérité initiatique qui est par nature hors du temps : le caractère "opérant" de la légende ou du mythe ritualisé est indiscutable dans tous les niveaux de l'être individuel et collectif, et ceci quelles que soient les variantes de la légende et de l’orthopraxie.

Dans la légende comme dans le mythe il faut un héros, ici l’homme comprit dans sa dimension totale. Cette dimension dépasse la limite corporelle et touche à une sorte immortalité ou d’intemporalité. Cette dimension rêvée est archétypale, c’est celle de l’Être, ou de l’homme premier, qui à l’évidence ne se situe pas sur la flèche du temps « documenté », mais remonte à l’origine « informelle ».

C'est à cette dimension totale et « initiale » de l'Être (où le rêve reste un fait avéré non pris en compte par l’historien, voir l’échelle de Jacob) que les rituels d'initiation s'adressent. Cette dimension n’étant pas temporelle, les historiens perdent alors leurs compétences et leurs repères.

Pouvons-nous dire que l’initiation suit un rituel immémorial qui outrepasse le document ou la preuve de sa pratique ?


Les historiens de la franc-maçonnerie font œuvre utile en nous documentant sur les preuves tangibles. Trop souvent l’analyse historique ne se préoccupe pas suffisamment de la transmission de l'influx spirituel. Il y aurait beaucoup à dire sur cette transmission. Sans doute que la vision historique du réel se restreint à l'objet documenté par une source testimoniale traçable, recoupée sur la flèche du temps. L'histoire ainsi écrite est parfois restrictive comme un fruit desséché alors que le mythe ou la légende du grade restent des fruits charnus. Ces fruits ont pourtant un point commun: la graine.

Par l’histoire documentée et le mythe ritualisé, nous devons retrouver la graine et la faire germer.


Le mythe devient réalité

Par définition l’histoire relate la réalité démontrée, mais quand est-il du mythe ritualisé ?

Si l’historien veut remonter le fil du temps en certifiant les étapes et les faits, le mythe appartient déjà à la nuit des temps. Le mythe et la légende sont la graine de l’initiation et le moteur d’un réel idéalisé.

L'histoire populaire et le mythe ensemencent le vivant et meublent l'imaginaire. Ils participent à la structure initiatique par la voie qu'ils tracent, l’interprétation cachée qu’ils recèlent et l'image mémorielle qu'ils font surgir en nous (origine mythique du métier, légende d'Hiram, légende de Noé, échelle de Jacob, tour de Babel, Arche de Noé etc.). Ce sont les graines originelles de l'initiation. Le mythe fait vivre les archétypes en leur donnant chair humaine.

Le mythe n’est jamais neutre. Il s’invite dans le réel et opère dans la schématisation comportementale et sociale, en offrant un cadre, un modèle et une hiérarchisation du monde entre la terre et le ciel.

Le mythe et la légende sont nés avant l'histoire moderne et engrangent 5000 années d'avance sur la science historique. Ils restent d'essence collective et archétypale et participent d’un langage subtil de reliance et d’humanisation.

Le mythe est né dans la nuit autour d'un feu central dans le cercle fermé de la tribu.

La parole tribale s'est transportée dans l'ascendance du feu central jusque dans la voûte étoilée. Du plan circulaire elle est passée dans l'axe. Passant dans l’axe et montant vers les étoiles, la parole est perdue sur le mode discursif, mais bien réelle dans un langage non verbal. Toute parole à son écho même lointain dans l’espace et le temps. La formulation du mythe marque le début de la reliance à plus haut. C’est à la fois la reliance des personnages mythiques et des dieux aux étoiles d’un côté et à la grande nature de l’autre, ces deux reliances vont se retrouver en l’homme. Enfin nanti d’une explication cosmogonique, l’homme va tenter la comparaison avec la totalité et l’unité originelle dont il serait issu. C’est la reliance de l’homme et de sa destinée à sa propre étoile aux proportions divines. Avant que l’homme ne trouve une proportion divine en lui, il est passé par le stade du mythe ritualisé où l’homme devient héros, architecte et acteur de l’univers (voir mythe de Prométhée).


C'est cette voûte et ces milliers d'étoiles qui alimentèrent la bibliothèque archétypale de nos cerveaux. Cette bibliothèque mémorielle est faite de toutes ces « intentions » individuelles et collectives que l'on qualifia plus tard d'immanences et transcendances, puis de croyances ou de connaissances. L’alphabet n’est qu’une prière comprise entre l’Alpha et l’Oméga qui n’attend que l’ordonnancement du Verbe.
Dans les deux cas (histoire et mythe) il s'agit toujours d'une création de l'homme basée sur le fait et sur l'intention: le fait humain est avéré dans la strate du réel historique et discursif, et l'intention humaine traverse la réalité et atteint les autres strates qui composent l'humain (états inférieurs et supérieurs). L’intention tend vers une reliance à plus haut; le mythe relate une reliance "orientée" dans la cadre du récit.

Le fait discursif s'inscrit dans le plan horizontal et l'intention se situe dans l'axe: c'est ainsi que le Temple est une bâtisse de matière (le fait) qui veut recevoir et contenir le ciel (l’intention). Lorsque l’on dit que le mythe devient réalité, c’est parce que l’intention anime le moteur du réel. L’intention permet l'analogie et la transformation symbolique, elle permet aussi le changement de "monde", ce qui est capital s’agissant de l’art de bâtir un Temple qui reste un objet réel qui étend son champ analogique dans des contrées inaccessibles à une vérité documentée...

(à suivre) E.°.R.°.

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